ZoneTravaux vous présente aujourd’hui un nouveau tutoriel sur le thème du placo. Nous complétons notre thématique dédiée à ce matériau avec un faux plafond qui intègre des spots et un ruban LED caché à l’intérieur. Ce faux plafond joue donc ici un rôle purement esthétique et apporte une touche de modernité avec son aspect épuré et chaleureux.
Vous avez pu le voir sur nos réseaux sociaux ces derniers temps, je suis en plein chantier avec la restauration complète d’une ancienne maison (voir sur les photos sur Pinterest). Que l’on soit artisan professionnel ou bricoleur averti, il est indispensable d’être bien outillé afin de réaliser un travail de qualité dans le temps imparti. Ces derniers mois, j’ai utilisé et testé la lampe électroportative BOSCH PRO GLI DECILED 10,8V : un vrai coup de coeur !
Après les deux premiers articles, voici la troisième partie de notre série sur les étapes nécessaires pour refaire une cuisine de A à Z. L’idée de cette série est de vous donner un maximum de clés pour réussir votre propre projet et ne pas vous faire piéger par un oubli dans le calcul de votre budget ou par un problème technique. Alors on continue notre grand tutoriel qui nous mènera jusqu’à l’étape de la peinture !
Lors de la construction de ma pergola, j’ai eu besoin de m’équiper de ciseaux à bois pour réaliser les différents assemblages. C’est en faisant des recherches sur les différents types de ciseaux que j’ai découvert la marque RALI (fabriqué en Suisse, d’ou le petit drapeau sur le logo).
Il y a quelques semaines, je vous présentais le test de ma nouvelle scie à onglet radiale : la AEG PS254L. J’expliquais l’avoir installée sur mon établi afin de pouvoir m’en servir en mobile et ainsi la ranger après utilisation. Au final, je m’en sers tellement régulièrement que j’ai décidé de l’utiliser en statique et, pour cela, de m’équiper d’un support fixe de scie, le AEG PSU1000 !
Fin juin, Vince vous avait annoncé la sortie prochaine du système de recharge par induction, innovation mondiale signée Bosch Pro. Et bien nous avons la chance aujourd’hui de la prendre en main et de la tester en conditions réelles sur Zone Travaux et pour ne rien vous cacher, on est comme des enfants le jour de Noël car ça faisait un bon moment que nous attendions ça ! Alors c’est parti pour la prise en main de cette nouveauté. Nous allons savoir si e chargeur à induction Bosch Pro est une simple évolution ou une vraie révolution.
Dans un monde ou nous avons tendance à jeter plus rapidement qu’à réparer, j’ai toujours été épaté par la capacité de nos parents à conserver d’innombrables objets ou meubles. Cela frise parfois l’inutile mais il faut bien reconnaître que lorsque cela permet de dépanner et d’économiser beaucoup d’argent, nous ne pouvons qu’être reconnaissants ! C’est exactement ce que je vais pouvoir vous démontrer dans cet article avec la restauration d’un lit d’enfant du début du siècle ayant appartenu à mes arrières beau-parents !
Avoir un bébé qui grandi à la maison est un vrai bonheur mais qu’est ce qu’ils grandissent vite. Un body à peine acheté est déjà trop petit, je ne parle pas des chaussures et le lit de bébé (si vous n’avez pas opté pour un lit modulable) sera très rapidement incompatible avec la volonté farouche de votre enfant à vouloir en sortir !
De notre coté, c’est l’arrivée d’un second bébé qui a accéléré les choses. Le petit dernier a donc hérité du lit de la « grande » mais il fallait trouvé un lit de remplacement. Je dois avouer que le mobilier pour enfant coûte assez cher et vu la durée d’utilisation, c’est un peu frustrant. La solution « miracle » est venue de mes beau-parents qui avaient gardé au fin fond de leur maison, un lit appartenant à un de leurs parents !! Comme quoi, il n’y a pas que le mobilier Louis XVI qui fait plaisir lors d’un « héritage ».
Voici la « bête », dans son jus :
Qui dit mobilier ancien dit forcément : Bricolage et c’est là que j’interviens ! Le lit est globalement en bon état (surtout pour une pièce de 100 ans). La peinture s’effrite mais les « fresques » ont tenu le coup mais il manque le sommier. Pour transporter le lit jusqu’à chez moi, je vais juste le rigidifier temporairement à l’aide de 2 planches de sapin. Je m’attaquerais ensuite à la fabrication du sommier.
Fabrication d’un sommier
Juste une énorme précision « pour toi public »… on parle ici d’un lit de petit d’enfant (5-20kg), pas celui d’un ado de 40kg ! C’est important par rapport au choix des matériaux pour les lattes du sommier.
Partant donc du principe que je fabrique un sommier pour ma fille de 12kg, voici les outils et les matériaux utilisés.
Peinture « écologique » sans solvant (à l’huile de lin et pigments naturels)
Passons à la réalisation du cadre du sommier.
Je débute en prenant les mesures et question précision, il n’y a rien de mieux qu’un mètre laser !
Je prends donc les mesures en longueur et en largeur en prenant soin de bien positionner le mètre laser :
Voila les mesures pour mes prochaines découpes à la scie à onglet. Histoire de les garder en tête, je les note rapidement sur « mon mur velleda » (je vous l’avais présenté ici)
Et c’est parti pour les découpes. Je commence avec les tasseaux de 32×32 et les réalisations de 2 longueurs de 138 et 2 largeurs de 67.
Les découpes sont donc réalisées à la scie à onglet pour être sûr de la précision de coupe mais aussi de la rapidité de réalisation.
J’ai volontairement réalisé les traverses latérales 1mm plus longue que ma mesure initiale afin qu’elles rentrent très légèrement en force dans la structure du mur. Cela permet d’avoir un sommier qui rigidifiera le lit.
Ensuite, je peux commencer à monter le cadre du sommier. J’en ai suffisamment parlé pour ne pas avoir à vous le présenter mais la structure sera construire à l’aide de mon gabarit de perçage + collage à la Titebond.
Pour le gabarit, on place le tasseau pour régler la profondeur de perçage (il faut que la vis ressorte au centre du tasseau). On cale le tasseau au centre du gabarit puis on le perce à l’aide d’une simple perceuse visseuse (c’est du sapin, ca rentre tout seul).
On obtient un magnifique perçage bien centré et propre sur le tasseau. Il suffit ensuite d’y apposer un peu de colle à bois et nous pourrons visser et fixer l’ensemble des 4 tasseaux qui forment la structure du sommier.
On laisse sécher un peu la colle en maintenant fermement l’ensemble à l’aide de pinces sur mon magnifique établi (j’en suis fan !!)
Je fais une pose à blanc pour être sûr que le cadre rentre parfaitement dans le lit :
Nous pouvons maintenant attaquer la fabrication des lattes du sommier.
Je début de la même manière avec le mètre laser pour m’assurer d’avoir des mesures très précises.
Pour aller très vite dans des découpes précises, tout est réalisé à la scie à onglet. Je débute en faisant un test avec 2 lattes :
Et vu que les découpes sont parfaites, je peux empiler les couches de lattes et toutes les découper en même temps afin qu’elles soient parfaitement identiques.
Petite pose à blanc pour admirer le résultat avant de fixer toutes les lattes mais aussi pour prendre les mesures. Il est important que toutes les lattes soient fixer de manière régulière pour que le poids soit idéalement réparti.
Tout est en place pour la fixation des lattes sur le cadre. Pour ce faire… quelle originalité… j’utilise mon gabarit avec cette fois-ci, 2 perçages par coté. Ce serait dommage que la latte tourne sur elle-même.
Quelques perçages plus tard, toutes mes lattes (8 au total) sont prêtes pour la fixation au cadre (qui a eu le temps de sécher). Personnellement, je trouve ça déjà sympa toutes ces belles lattes identiques.
Et c’est parti, je colle, je visse, je visse / je colle, je visse, je visse / et ainsi de suite, 16 fois en tout.
Je laisse sécher l’ensemble (je pars faire la peinture du lit en attendant) et je fais mon test de vérification en plaçant le sommier dans la lit. Si ça passe, c’est parfait, si ce n’est pas le cas… heu… c’est un peu tard pour d’éventuelles modifications
Mais… c’est parfait ! Le sommier étant fabriqué, je l’ai ensuite peint de la même couleur que le lit avec une peinture naturelle (la teinte se rapproche du vert olive pâle pour rester dans la couleur initiale du lit).
Restauration du lit
C’est l’étape la plus fastidieuse de l’opération et j’avoue que j’étais très content de voir, qu’en retour de déplacement, ma femme avait tout fait !
Décapage de toute la peinture écaillée
Ponçage de toutes les arêtes et bordure du lit
peinture blanche en prenant soin de conserver les fresques
peinture verte sur les montants pour reprendre la teinte du lit
vernis naturel sur l’ensemble du lit pour le protéger dans le temps
On conserve ainsi le look ancien du lit mais en partant sur une base vraiment saine. Je peux donc repositionner le sommier dans le lit.
Un petit tour dans une boutique bébé pour acheter un bon matelas (parce que pour le coup, ça, c’est important pour le confort de votre enfant), quelques peluches et une gigoteuse…
Et on obtient un superbe lit de famille pour une bouchée de pain et avec un bricolage assez limitée (peu d’outils et rapide à réaliser). Une petit avant/après histoire de voir le résultat final dans une chambre qui, elle-même, a bien changé !
Les toilettes sont une source de fuites d’eau assez fréquentes et je vous propose aujourd’hui un petit tour des différents cas possibles et les solutions adaptées à chacun de ces cas pour résoudre ce genre de problèmes. Vous éviterez ainsi de gaspiller de l’eau inutilement et ferez quelques économies. Voyons dans cet article comment réparer des toilettes qui fuient.
Je vous propose un test de saison et d’ailleurs, un test passé sacrément haut la main. Pour tous les artisans qui travaillent en extérieur ou encore des particuliers qui réalisent leurs travaux par tous les temps, il existe des solutions pour rester au chaud et au sec. J’ai testé pour vous la dernière veste chauffant BOSCH Pro en batterie 10,8V : un « must have » !
Les ampoules à incandescence ont aujourd’hui disparu de nos maisons au profit d’ampoules moins consommatrices d’énergie. Elles sont remplacées par des ampoules basse consommation fluo-compactes ou par des ampoules à LED. Les consommations des spots halogènes peuvent ainsi passer de 50W à seulement 3 ou 4W … Mais avez-vous déjà pensé à vérifier la vraie consommation des ampoules LED ? Nous si ! Et c’est le but de cet article, voir si les consommations annoncées par les fabricants sont en phase avec leur consommation réelle.
Histoire de changer un peu des gros travaux du moment de la maison, je me suis lancé dans un nouveau petit projet, une grande première pour moi : la fabrication de ma nouvelle planche de Skateboard. Cela nécessite quelques étapes importantes à respecter, un peu de patience mais le résultat en vaut vraiment la peine avec, au final, la plaisir de rider votre propre planche de Skateboard !
En fait, tout commence par la furieuse envie de réaliser moi-même une planche de skate et la découverte d’un site qui offre une solution originale et super efficace (mais ça, je ne le savais pas encore…) : Roarokit.
Le principe repose sur un kit de presse sous vide dans lequel vous placez votre réalisation en cours de séchage. La presse va comprimer les placages sur le moule pour donner la forme que vous souhaitiez donner à votre planche.
une presse sous vide 51cm x 178cm avec un clapet anti-retour positionné au centre et le mastic d’étanchéité permettant la fermeture du sac
une pompe à vide manuelle à haute pression
un filet en plastique
du mastic d’étanchéité supplémentaire
des instructions (avec une section maintenance)
Ensuite, pour le placage, j’utilise de l’érable du Canada en 1 mm d’épaisseur. Je souhaite réaliser une planche de street et pesant moins de 80 kg, j’ai opté pour une 7 plis (soit 7 épaisseurs d’érable collés). Niveau look, j’ai intercalé une planche teintée bleue au milieu de la planche.
Le principe est simple, pour garantir une bonne rigidité, il faut intercaler des placages dans le sens du fil du bois et d’autres en perpendiculaire du fil comme ceci : fil/fil/perp/fil/perp/fil/fil
Mais avant tout, il faut réaliser votre moule !
Création du moule
Le moule est réalisé dans une planche de polystyrène acheté en GSB (environ 10€). Coupez la d’un peu plus de la largeur d’une planche traditionnelle. Un simple cutter suffit pour le couper.
Pour tracer la future découpe, j’utilise une ancienne planche avec laquelle j’adorais rider : un shape assez traditionnel et un concave assez marqué. Je le modifierais légèrement lors de la réalisation du moule. Pour schématiser, le moule est une emprunte en négatif de votre futur planche de skate.
Je réalise ensuite le marquage de la bande centrale plane du skate ainsi que la délimitation du « nose et du tail » (en gros, de l’avant et de l’arrière de la planche ».
J’attaque ensuite les premières découpes des bordures du moule : le concave. Plus vous découperez et plus le concave sera prononcé. Cette découpe est réalisée avec un cutter dans un premier temps et la finition est quant à elle faite à l’aide d’une cale à poncer.
Je passe maintenant aux découpes des extrémités de la planche. Il faut bien se projeter car, à ce stade, c’est vraiment conceptuel !
Je vérifie les ponçages en plaçant mon master (ma vieille planche) sur le moule et je m’assure que les angles sont correctes. J’ai ajusté légèrement l’avant de la planche pour apporter un peu plus d’angle.
Quelques finitions plus tard, mon poule est fin prêt à être utilisé. Rien qu’à ce stade, c’est déjà super motivant ! Le placage viendra épouser les formes du moule pour former la future planche.
Préparation de la presse sous vide
Je récupère mon colis qui contient mes placages en érable en provenance directe du Canada :
J’achète un bidon de ma colle à bois préférée. J’ai déjà eu l’occasion de vous en parler dans un précédent article (Fabriquer une étagère bibliothèque) mais cette colle est un vrai coup de coeur, super efficace et agréable à utiliser : TITEBOND Ultimate III
Tout le matériel est prêt pour commencer : placages, colle, moule et surtout de la motivation car les prochaines étapes vont être sport !
Petit focus sur le placage avec, comme je l’expliquais avant, des placages dans le fil du bois (à gauche) et en perpendiculaire (à droite). On voit bien la différence à l’oeil. Les planches dans le fil se plient facilement dans la longueur et les autres, dans la largeur, ce qui donne une planche souple mais très résistante !
Nous allons donc partir sur une planche à 7 plis (c’est ce que l’on trouve de plus courant dans le commerce) avec un placage coloré au centre. Pour rappel, on intercale comme ceci : fil/fil/perp/fil/perp/fil/fil
Pour que le moule en polystyrène ne cède pas sous la pression de la pompe (la pression est vraiment bluffante !), je place, sous le moule, une planche en pin légèrement plus longue et plus large que le moule.
Réalisation de la planche
Malheureusement, à partir de ce stade, je vais être plus avare en photos car, étant tout seul pour bricoler, je ne pouvais pas prendre de photos et en même temps, coller mes placages… toutes mes excuses !
Le principe est simple : je prends mon premier placage, j’appose de la colle dessus à l’aide d’un rouleau à peinture en prenant vraiment soin d’y mettre une couche uniforme sans aucun vide. Je colle mes planches sur les 2 faces (comme avec de la colle néoprène contact).
Dans cette étape, il faut aller à la fois vite pour respecter le temps de séchage de la colle et en même temps, prendre vraiment le temps de bien apposer la colle. L’excédant de colle sera éliminé lors du pressage (ce n’est pas une raison pour en mettre trop !).
Une fois que tous vos placages sont collés les uns sur les autres, placez l’ensemble sur le moule et insérez le tout (placage, moule + planche rigide) dans la presse sous vide. Il faut placer le filet en plastique sur le dessus du placage (sous le clapet anti-retour). Fermez le sac à l’aide de manière hermétique à l’aide du mastic d’étanchéité.
Enfin, retirer le principal de l’air avec un simple aspirateur au niveau du clapet puis terminez l’extraction d’air avec la pompe à vide manuelle. N’oubliez pas de tirer sur les extrémités de la presse afin d’éviter d’éventuels plis (et donc de l’air stagnant). Dernière étape lorsque l’air est entièrement retiré, placez 2 pinces étaux (ou plus) au niveau des extrémités de la planche pour apporter un peu plus de pression aux endroits sensibles (nose/tail et concave). Voilà le résultat en cours de séchage, c’est beau :
Il faut patienter 8 heure minimum avant de retirer l’ensemble de la presse sous vide. Pour les plus impatients… c’est long ! Du coup, je l’ai fait avant d’aller dormir et donc ma planche était sèche au réveil, que du bonheur. En retirant le moule, on obtient un magnifique master prêt à être découper pour fabriquer sa planche.
Pour le tracé des contours, rien de plus simple, placez votre ancienne planche au dessus du master et délimitez votre future planche. A ce stade, c’est totalement libre, vous pouvez dessiner n’importe quelle forme et c’est la grande force de cette méthode.
Pour la découpe, à défaut d’avoir une scie à ruban, j’utilise ma scie sauteuse Ryobi qui fera très bien l’affaire. Sur cette étape, prenez votre temps, il ne faudrait pas faire éclater le bois ou délaminer votre planche !
Ensuite, je vais m’attaquer aux rebords de la planche en débutant par un passage sur la ponceuse à cylindre Triton pour bien garantir une planche bien droite puis un passage à la défonceuse équipée d’une fraise quart de rond pour arrondir les angles de la planche. Je n’ai malheureusement pas non plus de photo de cette étape, sûrement trop impatient de terminer !
On obtient finalement une magnifique planche brut ! J’ai limite eu envie de m’arrêter à ce stade pour en faire un objet de déco comme j’ai déjà eu l’occasion de vous en présenter !
Je vous avoue que je suis surpris d’avoir aussi bien réussi cette première planche. Cette technique est bluffante !
Enfin bon, si je construis une planche, il faut bien que je la teste alors je me suis décidé à la percer pour y installer les trucks et les roues. Pour cela, j’utilise une perceuse monter sur un colonne Wolfcraft (ça coute 20€ dans le commerce et c’est très pratique pour des perçages d’appoint). Attention, veuillez à bien percer votre planche (bien centré et dans l’axe… sinon, elle n’ira pas bien droit et ne sera pas stable…).
Résumé de quelques étapes en images :
Histoire de limiter les coûts, j’ai récupéré un maximum de pièce d’une ancienne planche (cela se limite aux trucks) et j’ai acheté le reste des consommables (roues, roulements, visserie et pads).
Pour les Skateurs, oui, j’ai bien mis des roues de cruising sur une planche de street et… c’est normal. N’ayant pas encore testé la solidité de la méthode, je destine cette planche à de la balade et non à du vrai street. On verra pour une version 2 destinée à faire de la rampe (quand j’aurais fabriquer ma mini rampe dans le jardin… quand ma femme acceptera… ce n’est pas gagné !).
A ce stade, il ne reste plus qu’à admirer son oeuvre et être super fier de soi (parce que oui, ça fait du bien de se jeter des fleurs parfois !).
On peut regarder de plus près les différentes couches de placags de la planche, le rendu est vraiment très propre et net.
Le concave est finalement assez prononcé, j’avais peur, en réalisant le moule que cela ne soit pas suffisant avec un nose légèrement plus relevé que le tail, ce sera parfait !
Il ne me reste plus qu’à attendre impatiemment que le soleil pointe le bout de son nez pour aller l’essayer. En attendant (parce que cela fait des mois qu’il pleut), je vais en réaliser une seconde, avec une forme originale pour ma fille histoire de se balader avec Papa !
J’espère que cet article, qui change un peu des thèmes abordés sur ZoneTravaux, vous aura plu et surtout, que cela vous donnera des idées de bricolages pour les prochains week-end.
En attendant, vous pouvez poser vos questions ici ou directement sur le forum ou nous aurons le plaisir de voir vos réalisations !
Il existe une multitude de façon pour réaliser une étagère ou une bibliothèque. Cela va de la conception la plus rudimentaire (mais solide) à la conception complexe intégrant des portes de placards et rails de tiroirs ou, dernière méthode, la plus souvent utilisée depuis quelques années… aller chez notre ami Suédois (Ik*a) et acheter la fameuse étagère B*lly… solution de facilité, j’en conviens.
Il y a 3 outils que j’utilise quasiment systématiquement dans mon atelier pour la réalisation de mes différents travaux et bricolage : ma perceuse AEG 18V, mon gabarit de perçage KREG et ma scie à onglet Peugeot. Avec l’utilisation intensive que je fait de ma scie à onglet radiale, j’ai décidé de m’équiper d’un toute nouvelle scie à onglet radiale il y a 6 mois : la AEG PS254L.
Lorsque vous n’avez pas forcément les moyens ou le temps de vous lancer dans une restauration complète d’un pièce, il est parfois intéressant de se limiter à une rénovation. Cela vous permettra, à moindre coûts, d’embellir votre habitation. Il existe un certain nombre de produits assez efficace pour la rénovation d’une pièce d’eau. Je vais vous montrer, dans cet article, l’utilisation des produits Résinence Color (Email et Color).
Il y a quelques semaines, j’ai reçu une photo d’une amie me montrant un chevalet de peinture assez sympa trouvé sur le Net. Etant donné que nous souhaitions en offrir un à notre fille, il ne m’a pas fallu longtemps pour le lancer dans la fabrication d’un chevalet perso.
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